Le président de la République milite en faveur de la réconciliation nationale, la paix et la stabilité du pays, la promotion de la coopération et l’intégration régionales etc.
Le Conseil de sécurité des Nations-Unies s’est réuni le 18 décembre 2020. L’ordre du jour portait sur la situation en République démocratique du Congo (RDC).
Renforcer la présence de l’Etat dans les zones de conflit
Le Conseil de sécurité souhaite que soient mis en œuvre, les engagements que le chef de l’Etat, Félix Tshisekedi et son gouvernement tiennent à réaliser notamment l’unité nationale, le renforcement de l’Etat des droits de la personne, le respect de la liberté d’opinion et d’expression ainsi que la liberté de presse et la lutte contre la corruption.
Le Conseil de sécurité demande au secrétaire général de l’ONU et aux organisations régionales de fournir un appui politique au renforcement des institutions de l’État en RDC et au rétablissement de la confiance entre les différentes parties, notamment par leurs bons offices, en vue de consolider la paix et la sécurité l’ensemble du territoire national.
Les exactions commises par les groupes armés condamnées
Le conseil de sécurité a condamné fermement tous les groupes armés opérant en République démocratique du Congo et les violations du droit international humanitaire et d’autres normes applicables du droit international ainsi que les atteintes aux droits de la personne qu’ils commettent.
Le conseil a réaffirmé sa condamnation des actes de violence observés en République démocratique du Congo, notamment les attaques contre la population civile, le personnel des Nations unies, le personnel associé et les travailleurs humanitaires ainsi que le personnel médical et les installations médicales.
Dans cette même résolution, les pays membres, condamnent d’autres actes barbares, tels que les exécutions sommaires, les atteintes à l’intégrité physique, les violences sexuelles, les violences fondées sur le genre, le recrutement et l’utilisation d’enfants, l’enlèvement d’enfants et de membres du personnel humanitaire, ainsi que les attaques visant des écoles et des hôpitaux que commettent ces groupes armés et les milices locales en violation du droit international.